• Lieu du rp : Dans le camp • Date du rp : 19/06/2482 dans la matinée • Participants : Zackary Riden & Bellamy Blake • Météo : Il fait plutôt froid malgré que les températures semblent monter, il doit bien être 15° maximum, le temps est couvert. • But du rp : Un dialogue pour mettre au clair une scène que Zack a surpris un soir. • Résumé du rp : (A éditer une fois le sujet terminé. Ca vous permettra de voir si vos persos vous ont laissé faire ce que vous vouliez. Et surtout, ça vous permettra de nous dire ce qui a pu se passer d'important, pour la chrono générale si cela s'avère utile. Ou ça servira simplement aux gens qui peuvent être concernés par votre sujet ! N'hésitez donc pas à nous dire si vous avez dû vous battre, si vous avez eu de la "visite" de la Faune et/ou de la Flore... Bref, on veut tout savoir !)
Oui, c'est de "Raiponce", je sais, mais ils m'ont trop fait penser à Zack/Bell en train de se chamailler sans vraiment trop se chamailler pour autant, alors voilà, ça illustrait bien ce que peut donner ce rp
Ca fait bizarre, d’être de nouveau dans c’camp, après avoir tant galéré à retrouver Octavia. Plus encore d’être ici, alors que l’campement est allégé d’quelques-uns d’ses membres, chose qu’était pas prévu, et dont – dans l’autre camp – on a été mis au courant qu’y’a peu… Et dire qu’pour l’instant, on les pense en sécurité, dans l’bunker : on va s’taper une grosse désillusion, dans quelques jours… Mais pour l’heure : il faut préparer l’trajet d’retour. Et croyez-moi : y’a du taf ! Pas qu’ça soit mal organisé par ici, mais ils sont clairement pas prêts pour l’trajet et la galère qu’il représente (plus encore en étant chargé comme ils le seront, même si on n’prendra qu’le strict minimum !). J’suis en train d’gérer tout ça, avec Aaron, voir comment on pourra s’organiser. Ca a un côté rassurant, d’collaborer avec mon meilleur pote, un peu comme si tout était normal, alors que rien n’l’est réellement ! Genre : quand j’ai quitté c’camp, Macy avait sa taille de guêpe (‘fin, sa silhouette « normale » quoi !), et là, elle est ouvertement enceinte jusqu’aux yeux ! M’demandez pas à combien d’mois elle en est, tout c’que j’sais, c’est qu’elle a fait un beau déni d’grossesse, apparemment ! Et ça, c’est un imprévu qui va chambouler pas mal le voyage, mine de rien ! C’est d’ailleurs de ça dont on parle, avec Aaron, quand une voix m’interpelle : « Bellamy ? » Et m’voilà à réprimer un soupir (ce qu’Aaron doit déceler en moi, tant il m’connaît), simplement en reconnaissant une voix que j’aurais bien aimé n’pas avoir à entendre avant un p’tit moment ! Sans m’presser, j’me tourne, pour faire face au microbe mécano (bah quoi, j’le dépasse largement d’une tête, alors c’est un microbe pour toi !). Et l’privilégié m’assaille de questions, que j’feins d’écouter avec attention, alors que franchement, j’ai tout sauf envie d’lui parler. Toutefois, j’fais abstraction du dédain qu’j’éprouve à son encontre, car l’sujet est nettement plus important que l’mépris qui nous relie.
Tandis que j’m’apprêtais à lui répondre, voilà qu’il en rajoute une couche. Avant d’repartir sur une autre salve d’questions. Mais euh… Ca lui arrive d’respirer, parfois, ou pas ? Niveau questions qui fusent et esprit en ébullition, il est limite pire que moi, pour le coup ! Pis il enchaîne, m’demandant à parler de j’sais pas trop quoi… Ayant sans doute l’esprit bien trop ancré sur les préparatifs du voyage, ainsi qu’sur ses questions, j’analyse pas trop sa demande pour l’instant, prenant juste note du ton – un peu trop mielleux à mes oreilles ! – qu’il emprunte pour m’parler. Plutôt inhabituelle, même si on s’parle rarement, en fait. Levant la main, comme pour lui demander d’faire montre d’patience, j’lui réponds alors, levant un doigt à chaque réponse fournie : « On part demain matin. ». Dans l’idéal, c’est même à l’aube, mais j’me fais pas trop d’illusions sur l’sujet ! « Ceux qui viennent d’l’autre camp s’répartiront dans l’groupe, afin d’palier à d’éventuelles séparations. » J’m’étale pas sur l’sujet, c’est pas nécessaire, mais on a déjà tout planifié avec les autres ! On a tous une boussole et les coordonnées du camp à rejoindre. Ca n’empêchera sans doute pas l’pire – s’il doit advenir – mais c’est l’mieux que l’on puisse faire ! « Et on veillera à répartir un peu partout, des gens sachant s’battre. ». Un minimum, du moins, car malheureusement, des gens véritablement en mesure de s’battre, y’en a pas des masses, dans les parages… Prenez l’gringalet qui m’fait face, par exemple : ouais, sur l’papier, il sait s’battre, ayant été entraîné par son père (qui nous l’a assez répété pour qu’on l’sache !). Mais dans les faits, il est p’têtre à peine meilleur qu’un Aspirant au milieu d’sa 2ème année, car l’étudiant a déjà été amené à s’battre contre d’autres Gardes, plus haut placé qu’lui, et placer dans des situations stressantes même si dans l’cadre des cours. Alors vous pensez bien qu’si l’Riden venait à s’retrouver face à un Grounder, bah… Il finirait rapidement allongé, son sourire prétentieux étrangement disparu d’sa gueule de p’tit con. Déjà qu'des gens plus calés, comme Aaron, seraient clairement mal barrés, alors un type comme lui, vous vous doutez bien qu'c'est à peine un amuse-gueule pour un guerrier d'la Terre ! « Quant à Mara, t’inquiète, elle est déjà au taquet. Et on va répartir aussi quelques trousses médicales dans divers sacs, juste au cas où…. ». On avait prévu d’en foutre à des gens ayant quelques connaissances en médecine, même si très sommaire, mais c’était l’mieux qu’on pouvait faire. Bref, quand j’vous dis qu’c’est un sacré merdier à organiser cette migration d’un camp à un autre, j’déconne pas. C’est pas pour rien qu’j’ai des cernes sous les yeux, qu’mon maigre quota d’sommeil réparateur a encore chuté, que j’me couche plus tard que d’habitude pour m’lever encore plus tôt. J’tiens à rassembler tous les délinquants. Sains et saufs. Ouais, même Zack, j’veux l’ramener en vie. Dingue, non ?
M’passant ma main qu’était restée levée, dans mes cheveux, pour les remettre sommairement en ordre, j’pousse finalement un soupir. « Pour c’qu’est de parler de tu sais quoi, va falloir qu’tu sois plus explicite. », fis-je remarquer, apercevant Aaron du coin d’l’œil, qui n’perd apparemment pas une miette de l’échange. « Car j’suis un peu en mode préparation d’notre p’tite escapade depuis qu’on est parti d’l’autre camp, alors tu m’excuseras, mais l’décodeur, j’l’ai pas encore lancé ! ». J’pourrais faire des efforts ? Allez vous faire, j’veux dire ! Ca fait des jours que j’réfléchis, avec d’autres, à c’voyage, à tout c’qu’il faut mettre en place pour que tout s’passe au mieux. Aux divers imprévus qu’on pourrait rencontrer, afin d’trouver des solutions qui seraient mises en place, bien avant… Donc, là, ouais, j’assume d’pas vouloir m’casser la tête, c’est même pas un refus d’parler avec le Phoenicien, c’est juste que là, la situation m’aide pas à voir où il veut en venir !
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Would you help me to find a new way? Would you guide me through all this again? Don't let me slip away, I need you here 'till the very end so stay here with me. There's so much love in you're smile when I look at your face and I'm here to stay. You're my escape so tell me you'll be right here with me. Hearing your voice is like hearing an angel sing through the good and bad and all in between. You're the one I want and the one I need. I won't make you turn away. So come with me and never look back. After all that we've been through you are still by my side and I'm grateful you're there and I, I love you.
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Sujet: Re: [19/06/2482] Let's talk. Lun 18 Mar - 19:39
Let's Talk.Bellamy & Zackary Ce pouilleux réponds tout de même, ouais clairement a ses yeux, Bellamy ne mérite aucun respect de quiconque, oui certaines de vos idées se rapprochent parfois, comme enlever le bracelet, mais d'autres sont si.. différentes et vos avis divergent, déjà.. Comment des gens ont pu le laisser devenir le "chef" de notre groupe quand on était sur l'autre camp? Il foutait rien de ses journées a part dire ce qu'on devait faire.. Mince autant pour moi, il se tapait des nanas j'avais oublié. C'était pas inhabituel de voir sortir des filles de sa tente, et étonnamment, d'autres rentraient aussitôt. Surement pas que pour parler de la vie sur le camp après tout. Zack écoute, du moins il fait mine d'écouter alors qu'il veut juste énerver l'homme face a lui, regardant limite les oiseaux parfois. Parce-qu’il sait déjà tout de ce qu'ils vont faire demain, mais bon, on va pas se mentir.. Le passe-temps favori du Riden sur la Terre c'est de lâcher des piques a Bellamy dès que l'occasion se présente. Alors avec un sourire.. d'enfoiré clairement il lache juste "Oh j'étais pas sur. Merci" Foutage de gueule /20 bonjouur! Rien que le ton que le Zack a emprunté a du échauffer Bellamy, ça se voit qui se fout ouvertement de sa gueule, mais bon, comme dit avant, il trouve rien de plus drole que voir le Blake bouillonner quand il se fout de lui. Zack le laissait parler dans le vent clairement, voulant juste agacer le gueux, le malpropre ou même le puceux devant lui. Et chaque regard vers lui se montre très.. jugeur, mais bon, c'est un Waldénite, c'est les bas-fonds de la société, que ce soit sur L'Arche ou sur Terre. Et oui on va encore dire..Mais tu traînes avec eux Zack. Comme si j'avais le choix, au demeurant certains sont sympathiques, mais d'autres pas du tout.
Mes sourcils s’froncent face à sa réaction. Si j’m’écoutais, j’lèverais les yeux au ciel et m’tirerais, sauf que j’ai pas envie d’lui faire ce p’tit plaisir-là, d’me pousser à bout. Surtout qu’il a rien fait d’nouveau : il reste dans l’thème du p’tit con prétentieux qui croit tout connaître mieux qu’tout l’monde. Et qu’j’ai passé l’âge d’m’énerver pour un tel manque de considération, et d’telles gamineries, alors j’prends sur moi… Faut juste qu’il s’amuse pas à m’faire perdre mon temps trop longtemps, car si lui, il n’a rien à foutre d’ses 10 doigts, moi, j’ai des choses à préparer. N’en déplaise à M’sieur Riden, mais moi, j’ai jamais eu l’loisir ni même l’envie, d’être oisif… Et voilà qu’en plus, l’autre me reproche d’pas voir c’qu’il cherche à m’dire. Genre, j’devrais m’excuser d’avoir l’esprit rempli des derniers préparatifs pour faire en sorte que l’voyage qu’on commencera demain, s’passera bien ? Qu’on parvienne tous à l’autre camp, tous ensemble, et en un seul morceau, mais aussi avec le matos l’plus important à ramener ? Navré, mais j’compte pas lui demander pardon pour m’soucier du bien-être commun et pas faire une fixette sur mon p’tit nombril… En fait, j’crois que ce gosse m’amuse bien, à tenter d’me faire sortir d’mes gonds, en prétextant avoir des dossiers à balancer sur moi, à ma frangine. « Oh mais fais donc… J’ai rien à m’reprocher, moi. ». A moins qu’ça n’soit une honte, d’avoir quasi jamais dormi parce que j’me faisais du souci pour elle ? Que j’cherchais des solutions pour la trouver ? Que j’aidais d’mon mieux à la construction et à la sécurité d’ce camp ? Après, il peut très bien lui raconter les conneries qui courent sur moi : O. m’connaît assez pour savoir c’qu’il en est, que j’m’amuse clairement pas à enchaîner les nanas, même si certaines laissent à croire que c’est le cas… Et elle sait aussi qu’j’suis loin d’être égoïste, alors bon… Il peut lui dire c’qu’il veut : j’m’en tape !
J’sais pas à quoi il joue, mais il m’fait juste perdre mon temps là. J’ me passe une main dans les cheveux, cherchant juste à prendre sur moi pour juste pas l’envoyer paître, car qui sait, p’têtre qu’il un truc important à m’dire (bon, vu l’cas qu’c’est, j’en doute, mais l’espoir fiat vivre hein !) Voilà qu’il s’permet d’parler à Aaron, pour lui faire comprendre qu’il doit dégager. L’entendant dire à mon meilleur pote qu’il compte pas m’tuer m’fait rire. Et ouvertement, en plus. J’lui souhaite bien du courage pour parvenir à m’tuer. J’crois qu’ça lui est un peu trop monté à la tête, l’entraînement qu’il a eut d’son père hein : c’est pas qu’moi, j’ai grandis à Walden, avec en plus, l’étiquette du gamin dont l’père a buté l’Chancelier d’l’époque, mais en fait, si. Alors j’crois qu’niveau coups d’pute et manières d’les éviter, j’suis largement au-dessus d’lui ! J’lance un clin d’œil à Aaron, m’foutant ouvertement d’la gueule d’Zack et d’sa pseudo pique sur la possibilité qu’il représente un danger pour moi. Limite, j’ai plus peur de Charlotte que d’lui, en fait, alors bon…. « C’est marrant, tu dis qu’tu veux parler, mais j’trouve surtout qu’tu parles pour rien dire, au lieu d’en venir droit au but... », dis-je, allant même jusqu’à bailler, montrant clairement qu’il m’endort avec son discours trop long et soporifique pour moi (et loin d’être explicite, mais j’crois qu’la capacité à s’exprimer correctement n’est pas dans ses compétences, au p’tit privilégié !). En fait, y’a même la politesse, qu’il a jamais assimilé, car il m’laisse à peine en placer une qu’il enchaîne. Mon dieu, mais il aime s’entendre parler, ou j’rêve ? Et après, sérieux, on dit qu’c’est moi l’égoïste d’notre camp. Que c’est drôle…. Croisant mes bras sur l’torse, j’le toise du regard, alors qu’il enchaîne. Et en vient au cœur du problème : la Griffin… Bon, j’en déduis qu’il a dû nous voir. Ou qu’elle a dû lui en parler. Et vu qu’il cherche pas à m’caser la gueule, mais qu’il a même pris l’temps d’me raconter limite sa vie avant d’venir au problème, il doit ignorer jusqu’où on dérapé, avec l’apprentie doc. Et apparemment, ça s’est arrangé, avec la Phoenicienne, sinon, bah… Ils auraient rompu, avant ou après mon départ. Sauf qu’à écouter Charlotte, c’est loin d’être l’cas… Bref… « Bon, alors, déjà : sois pas jaloux s’il y a eut du passage sous ma tente… ». Et encore, j’vois pas franchement d’quoi il parle, c’était que pour parler d’la vie du camp. Et après, j’ai longtemps eu Charlotte dans ma tente, alors m’amuser à amener des filles dans mon lit, c’était encore moins dans mes préoccupations qu’avant. Sans oublier qu’la seule nana qu’j’ai eu réellement dans mon lit (ou j’me suis glissé dans l’sien !), ça a toujours été Mara. (Clarke, apparemment, ça n’a été qu’un dérapage relativement honteux, de c’que j’peux en déduire là…). « Ensuite… C’était dans l’cadre d’une soirée, au cours d’laquelle on avait tous deux trop bu…. ». Puisque ça signifiait rien, autant poursuivre sur la lancée instaurée par la blondinette, nan ? Elle parait vouloir garder son mec inutile, j’vais pas l’en empêcher, ma foi ! Même si j’étais franchement moins imbibé qu’elle, et qu’elle, n’était pas non plus ivre à l’excès…. Mais ça, il n’a pas besoin d’le savoir, sans oublier qu’il m’connaît pas assez pour savoir que j’tiens plutôt bien l’alcool, et qu’en plus, j’évite de trop boire (merci papa !). « Alors ouais, j’le reconnais : ça s’fait pas. J’suis désolé, OK ? ». Que dalle ouais ! J’suis juste désolé d’avoir l’impression d’n’avoir été qu’un jouet pour la Griffin, qui m’a apparemment utilisé comme tant d’autres privilégié(e)s peuvent utiliser des Waldénites, pour s’sortir d’leur routine morne… « C’était qu’une connerie. J’en veux pas, d’ta nana. ». Et j’ajoute, ancrant mon regard dans l’sien, foutant mes mains dans les poches : « Vous êtes plus que faits l’un pour l’autre. ». Et ça m’fait mal d’dire ça, très étrangement, mais en cet instant précis, j’en suis méchamment convaincu… « Maintenant, sauf si tu veux perdre ton temps pour rien, et m’faire perdre le mien alors que j’bosse pour tout l’monde : va voir ailleurs si j’y suis, OK ? Et cherche plutôt à c’qu’il t’faudra faire, dans l’autre camp, pour retrouver ta blonde ! ». Après tout, l’Arche arrive bientôt sur Terre, aux abords d’l’autre camp. Et d’après c’qu’on dit, ils vont aller, par p’tits groupes, aller dans l’Mont Weather. Comme ça, l’parfait p’tit couple (vomi mental !) pourra enfin être réuni. Et on m’foutra la paix : miracle !
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Sujet: Re: [19/06/2482] Let's talk.
[19/06/2482] Let's talk.
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