Sujet: [12/01/2482] Just let me. Dim 10 Mar - 0:59
• Lieu du rp : Sur L'Arche. La Station Prison • Date du rp : 2482, 12 Janvier. Fin d'après-midi • Participants : Jackson Marshall & Zackary Riden • Météo : No idea • But du rp : Jackson "vire" Zack lors d'un dialogue avec Clarke.(Clarke ne joue pas et elle n'a pas de "parole" pendant le rp) • Résumé du rp : (A éditer une fois le sujet terminé. Ca vous permettra de voir si vos persos vous ont laissé faire ce que vous vouliez. Et surtout, ça vous permettra de nous dire ce qui a pu se passer d'important, pour la chrono générale si cela s'avère utile. Ou ça servira simplement aux gens qui peuvent être concernés par votre sujet ! N'hésitez donc pas à nous dire si vous avez dû vous battre, si vous avez eu de la "visite" de la Faune et/ou de la Flore... Bref, on veut tout savoir !)
Dernière édition par Zackary Riden le Dim 10 Mar - 14:44, édité 1 fois
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Sujet: Re: [12/01/2482] Just let me. Dim 10 Mar - 1:02
Sujet: Re: [12/01/2482] Just let me. Dim 7 Avr - 21:55
Jackson
Zackary
JUST LET ME
Être un fils de garde n'a jamais été facile. Mon père est un haut gradé de la garde, ma vie devait être aisée, agréable et pleine de rêve mais pourtant, ce ne fut en aucun cas réalité pour moi. Je préférerais même être orphelin plutôt que d'avoir Ross comme figure paternelle. Mais malheureusement, on n'a pas toujours ce que l'on veut dans la vie. C'est pourquoi je respecte les gardes qui jouent le rôle de père et qui ne se laisse pas allez par l'argent et le pouvoir au détriment de leurs gamins. Le mien n'a pas été capable de jouer ce rôle. Il a été lâche. Il m'a abandonné au profit de son propre avenir et pour ça, je ne peux même pas le voir en peinture.
Je connais le père de Zackary de nom. Après tout, j'ai été amené à connaître de nombreuses personnalités de la garde par le biais de celui qui se prétend être mon père, même s'il ne faisait ça uniquement que pour préserver son image de "bon père". Aujourd'hui, Zack s'est rendu à la prison, afin d'y rencontrer Clarke. Cette pauvre petite ne méritait nullement de se retrouver ici. Mais devant obéir aux ordres, je n'ai pas d'autres choix que d'effectuer mon travail. Je me contente seulement de m'assurer de sa sécurité, ne serait-ce que pour Abby, après tout je lui dois bien ça. « Zackary, ton père se porte bien ? » Lançais-je avec un sourire amical en feuilletant rapidement les heures de visites pour vérifier s'il ne mentait pas, ce genre de chose peut très bien arriver. Il ne me fallut que quelques instants pour valider sa demande. J'avais eu besoin de vérifier au préalable son droit de visite étant donné que je venais à peine de prendre mon service, je n'étais pas encore au courant de la venue du jeune Riden. « Eh bien écoute, tout est en ordre. Tu peux suivre le garde Jeremy, il te conduira à Clarke. Passe un bon moment avec elle, elle en a besoin. » Dis-je avec un léger sourire en coin avant d'ouvrir la porte à Zack pour le laisser rejoindre la cellule de Clarke.
Laissant quelques minutes en plus au jeune homme, je me dirige ensuite lentement vers la cellule de Clarke pour demander à Zackary de partir. Je vois bien que ma demande ne lui fait pas plaisir et en même temps, je peux le comprendre. Il me demande encore quelques instants pour lui avouer une dernière chose et à dire vrai, je ne me verrais pas comment refuser à un gars aussi sympa que lui. « D'accord, mais tâche de faire vite. » Me reculant de quelques pas histoire de leur laisser un peu d'intimité, je me redresse finalement en voyant le petit se lever de sa chaise. Mais subitement, celui-ci trébuche et semble s'arracher un morceau de pantalon au passage. Je lui demande rapidement s'il s'est blessé, histoire de ne pas le laisser avec une blessure à la jambe mais celui-ci me demande si je n'aurais pas une solution pour que son père ne se rende pas compte des dégâts. Détournant légèrement le regard pour soupirer en réfléchissant, je redirige mon regard vers lui après avoir fermé la cellule de Clarke en lui adressant un léger sourire pour la rassurer. « Si tu veux, on peut aller voir ça dans les objets abandonnés par les anciens détenus. Je pense qu'on pourra peut-être te dégoter un jean. » Après tout, ses vêtements n'allaient pas servir à grand-chose à présent. Puis ce n'est pas la disparition d'un jean qui allait alerter les troupes.