[10/01/2483] Indiana Jones VS l'univers Marvel. (Darren)
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Ryuk
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Sujet: [10/01/2483] Indiana Jones VS l'univers Marvel. (Darren) Mer 10 Fév - 22:55
La chrono :
• Lieu du rp : A mi-chemin entre le bunker et Cérès. • Date du rp : Le 10/01/2483. En milieu d'après-midi, avant que ne commence la séance ciné ! • Participants : Darren & Ryuk, avec d'éventuels PNJ qui interviendront ! • Météo : Le soleil est présent, mais ne tape pas aussi fort qu'il a pu le faire ces dernières semaines. Les températures sont dans les normes de la saison, et même s'il fait raisonnablement chaud, en comparaison des températures précédentes, ça reste supportable ! • But du rp : D'émouvantes retrouvailles entre les Bailey ! • Résumé du rp : (A éditer une fois le sujet terminé. Ca vous permettra de voir si vos persos vous ont laissé faire ce que vous vouliez. Et surtout, ça vous permettra de nous dire ce qui a pu se passer d'important, pour la chrono générale si cela s'avère utile. Ou ça servira simplement aux gens qui peuvent être concernés par votre sujet ! N'hésitez donc pas à nous dire si vous avez dû vous battre, si vous avez eu de la "visite" de la Faune et/ou de la Flore... Bref, on veut tout savoir !)
P'tit édit fait début mars :
J'viens d'acheter un loup avec Ryuk, au Marché. J'ai pas encore décidé ni le sexe de l'animal, ni son p'tit nom. Mais il va de soi que le loup est déjà avec Ryuk dans ce rp. J'éditerais pour l'ajouter, quand tout sera décidé, mais il est déjà là !
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Indiana Jones VS l'univers Marvel.
— Darren & Ryuk.
Aujourd’hui est un jour particulier, pour moi comme pour mon père – adoptif ! Pour la 1ère fois de sa vie, il va pouvoir aller à la surface. Certes, ça se fera de manière très étrange, car uniquement pour quelques heures, et avec la nécessité pour lui de porter une combinaison protectrice. Je ne doute pas que ça ne soit pas la meilleure des 1ères excursions à faire sur Terre – bien trop de contraintes ! – mais c’est mieux que rien. On ignore encore quand le remède permettant aux Montagnards de se balader tranquillement ici, sera enfin disponible, il faut donc faire preuve de patience ! Je ne me fais pas de doutes : ça plaira à mon père, malgré les inconvénients. Et en plus, ça nous permettra non seulement de passer de nouveau du temps ensemble (ce qu’on a fait, lorsque j’ai séjourné brièvement dans le Mont Weather, récemment), mais aussi de découvrir un film (Indiana Jones). C’est un peu compliqué et étrange, en ce moment, entre mon père et moi, depuis que je sais la vérité sur mon passé. Je crains qu’il ne lui ait été difficilement acceptable pour lui de me voir quitter le bunker. On n’en a pas vraiment parlé, je ne lui ai pas réellement laissé le choix, quand j’ai pris la décision de découvrir la vie à l’extérieur. On ne s’est pas pour autant quitté en froid, puisque j’ai été passer un peu de temps avec lui, récemment. Je tenais à ce qu’il ne puisse croire que je lui en voulais. Bien sûr, j’ai toujours du mal à accepter qu’il ait indirectement pu contribuer à ce trafic de jeunes Natifs, tout en sachant qu’il n’en connaissait pas tous les tenants et aboutissants. Mais je sais qu’il n’a rien de fait mal en réalité. A l’opposé, je ne peux en dire autant de Maureen. Travaillant à la surface, elle avait certainement vu comment se comportaient les Natifs. Ou avait au moins aperçu des constructions Grounders, montrant que ce peuple est moins sauvage que ne l’indiquait la rumeur tenace circulant sous la Montagne. Aurait-elle pu faire quoi que ce soit pour changer les mentalités parmi les siens ? Je n’en sais rien, mais ça me fait quand même lui en vouloir !
Comme toujours, Madi et Lance sont avec moi. Contrairement à notre habitude, on va cependant se séparer pour de longues heures (ce qui ne nous est pas arrivé souvent, hormis pour mes « vacances » dans le bunker !). Madi soutient mon initiative, comprenant parfaitement ma difficulté à trancher mes liens avec Darren, même maintenant que je connais toute la vérité sur mes origines. Elle comprend également mon état d’esprit quant à ma famille biologique (ma difficulté à savoir comment trouver ma place auprès d’eux, les difficultés que j’éprouve de réapprendre les bases même de ma culture…). Lance, quant à lui, est plus sceptique, comme s’il craignait que je ne me perde, en tentant de concilier les 2 aspects de ma vie. Mais j’ai préféré ne pas me laisser ronger par ses doutes, même s’ils étaient sensés, et me suis donc entêté à inviter Darren pour ce ciné en plein air. (Ouais, même si j’suis aveugle, et j’compte malgré tout profiter du film, c’est comme ça !).
C’est Lance, qui me glisse à l’oreille que le groupe des Montagnards se profilent devant nous. Madi et lui ont attendu avec moi l’arrivée du petit groupe, qui a fait le gros du chemin avec un véhicule fourni par ceux de l’Espace (afin d’économiser un peu de temps d’oxygène de leur combinaison !). J’adresse un sourire amical à Lance, en le remerciant de son attention, gardant cependant pour moi que j’avais entendu le rover, même si difficilement, à travers les bruits de la foule qui s’est rassemblée déjà sur l’emplacement prévu pour la séance. Il s’écoule quelques minutes avant que mes deux compagnons ne me fassent savoir qu’ils vont se trouver une place pour le film, et qu’on se retrouvera à l’issu de la projection, dans un endroit choisit au préalable. Ces départs ne sont pas étonnant, à en juger par les lueurs se rapprochant vers moi, le groupe de Montagnards a descendu du rover pour s’installer à son tour. Reconnaissant la silhouette colorée de mon père, je m’approche précautionneusement de lui, maniant dans mon déplacement, ma canne. Je n’apprécie pas d’en avoir besoin, mais je sais que je n’ai pas le choix, ayant encore du mal à juger les reliefs de la Nature. J’espère que je finirais par être à l’aise, un jour, détestant dépendre ainsi d’une canne ! « Comment vas-tu ? », demandé-je, en sentant les bras de mon père s’enrouler autour de moi, quand enfin, nous nous rencontrons. « Beurk, tu pues ! », lui fis-je savoir, en fronçant le nez, me reculant de lui. Non, ça n’est pas lui qui sent mauvais, il doit bien s’en douter, mais je parle en réalité de sa combinaison. J’ignore depuis combien de temps elles n’ont pas pris l’air, ou alors, elles accrochent trop aisément les mauvaises odeurs…. « J’espère que ça pue moins dedans que dehors ! », compatis-je, nouant mon bras autour de son coude, le conviant ainsi à me guider par la suite, bien que le temps ne presse pas : nous avons encore du temps avant que le film ne commence !